Jacques TAUZIA

Je vous adresse toutes nos condoleances
Jacques était un ami de jeunesse on est entre ensemble à supelec dans la botte on a fini ensemble en queue c est dire que nous avons partage de très bons moments pendant 2ans Plutard il venu me rejoindre chez logabax
Ainsi va la vie j ai garde un très bon souvenir de ce camarade cherished sa memoire

Ce devait être en 1977, j'avais 14 ans. Le tour du pérph' parisien derrière toi sur ta TRIUMPH 750 TRIDENT. Quelle épopée pour un motard en devenir. C'est l'un des plus beaux cadeaux qu'on m'ait fait. Merci Tonton Jacques.
Des yeux bleus et une voix, emplis de douceur et de chaleur. C'est le souvenir que je garde de toi au fond de moi, Francette.

Dans ces instants douloureux nous nous associons à votre peine et vous présentons nos sincères condoléances.

Toutes nos tendres pensées en ces tristes moments à tes enfants, Jacques, tes soeurs et frères- tu étais le premier de la tribu de mémé Noèlie à Pouydesseaux ton premier lieu de vie .
tes cousines landaises , Monique et Françoise

Grand-père,

Il ne t’aura pas fallu longtemps pour rejoindre grand-mère. Je me console en pensant que vous êtes à nouveau réunis, et que tu es enfin libéré du carcan que cette maladie t’avait imposé.

Je me souviens de ta vivacité d’esprit, si caractéristique, et de nos nombreux débats animés où nous étions rarement d’accord.
Ta passion pour le sport, notamment le football et le rugby, était contagieuse : tu ne manquais jamais un match.
Je garderai en mémoire ton rire puissant, franc et plein d’espièglerie.

Tu m’as transmis la persévérance et la détermination. Aujourd’hui, j’essaie à mon tour de les offrir à ma fille, afin que ton héritage continue de vivre à travers elle.

Alors, profite de ton éternité auprès de grand-mère.
Je t’aime.

Chères nièces, cher neveu, petites nièces, petits neveux,
Je suis de tout cœur avec vous en ce jour difficile.
J'ai tout d'abord un regret d'avoir installé un silence pendant tant d'années vis à vis de vous tous. Je garde en mémoire, l'accueil de Jacques et Francette lorsque je suis arrivé à Paris. Grâce à leur aide et bienveillance, j'ai pu construire ma vie à la capitale. Je n'oublierai pas. Je vous embrasse ainsi que Christophe.